Incendie de Marseille : au cœur des diagnostics amiante post-sinistre

Au mois de juillet, un incendie d’une ampleur exceptionnelle a frappé le quartier de l'estaque à Marseille, ravageant des rues entières en une seule nuit. Les habitants, bouleversés, se retrouvent face à des pertes matérielles immenses et à un avenir incertain.

Un choc humain et visuel

En réalisant mes diagnostics amiante dans les maisons touchées, j’ai pu mesurer avec tristesse l’ampleur du drame.
Derrière chaque porte franchie, il y avait des visages marqués par  le désarroi.

Le paysage, quant à lui, porte encore les stigmates du sinistre : façades noircies, structures effondrées, rues silencieuses. Par endroits, la scène évoque un décor de film apocalyptique.

La sécurité avant la reconstruction

Mon rôle, dans ce contexte, consiste à vérifier la présence éventuelle d’amiante dans les débris et les structures encore debout. Cette étape est indispensable avant toute opération de déblaiement ou de reconstruction.
En effet, l’amiante, invisible à l’œil nu, peut représenter un risque grave pour la santé des riverains, des travailleurs et des intervenants de chantier si elle n’est pas repérée et traitée conformément à la réglementation.

Reconstruire en toute confiance

Au-delà de l’aspect technique, ce travail contribue à redonner un cap aux habitants sinistrés. Savoir que les lieux sont analysés et sécurisés est une première étape vers la reconstruction, tant matérielle que psychologique.

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Notre engagement est clair : protéger les travailleurs, les riverains et l’environnement, même dans les contextes les plus difficiles.

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