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Dans le domaine du diagnostic immobilier, certaines erreurs peuvent coûter cher.
La recherche d’agents biologiques de dégradation du bois (termites, capricornes, champignons lignivores…) en est un exemple.
Un diagnostiqueur peut, plusieurs années après son intervention, être convoqué devant un tribunal par un acquéreur découvrant une infestation non mentionnée dans le rapport initial.
La question est simple :
Le diagnostiqueur peut-il prouver qu’il a effectué toutes les vérifications nécessaires, conformément aux normes ?
La norme impose :
Sans preuve ou trace de poinçonnage lors d’un retour sur site avec l’expert judiciaire, convaincre le juge devient presque impossible.
En pratique, l’absence ou l’insuffisance de poinçonnage entraîne très souvent une condamnation, même si quelques indices avaient été repérés ou un traitement préconisé.
Dans un jugement récent :
À retenir : sur un bien de plus de 20 pièces, ne pas poinçonner systématiquement revient à minimiser le risque, ce qui peut influencer la décision d’achat de l’acquéreur.
Dans certains cas, le diagnostiqueur peut être protégé si :
Exemple :
Dans l’affaire citée, le traitement réalisé après le diagnostic a été jugé inadapté. L’entreprise de traitement a assumé 50 % des indemnités. De plus, une clause rédigée par le notaire — sur la base d’un rapport précis — a permis de dégager la responsabilité du diagnostiqueur.
Chez Général Services, nous appliquons des règles strictes pour protéger nos clients et nos opérateurs :
Le poinçonnage n’est pas qu’un simple geste technique : c’est un élément central de la sécurité juridique du diagnostiqueur.
Notre engagement : fournir des diagnostics clairs, conformes aux normes et appuyés par une méthodologie rigoureuse, que ce soit pour l’amiante, le plomb, les déchets ou les parasites du bois.
Général Services – Des diagnostics immobiliers à Marseille précis pour des décisions sereines.
Que vous soyez un particulier ou un professionnel, profitez de nos services.